Comment apprendre le japonais, quelques conseils

Aala 1 mai 2015 14
Comment apprendre le japonais, quelques conseils

Beaucoup se demandent régulièrement comment apprendre le japonais facilement, notamment lorsqu’ils débutent cette aventure linguistique. Mais, la véritable question est de se demander « comment apprendre le japonais » tout simplement. Voici donc quelques pistes pour vous orienter dans cet apprentissage.

Apprendre le japonais, c’est votre objectif? Vous voudriez pouvoir être capable d’écrire, lire et parler en japonais, mais vous ne savez pas par où commencer, quel chemin prendre, quelle orientation privilégier et vous vous dites que l’apprentissage peut vite devenir fastidieux? Oui, en effet, si c’est mal géré, l’apprentissage de cette langue (comme toute autre langue, cela va de soit) va vite s’avérer être un « calvaire », ne nous voilons pas la face. Il y a certains éléments à respecter pour ne pas se rendre ce chemin de l’apprentissage une torture de l’esprit et garder ceci comme un plaisir qui permettra d’atteindre l’objectif tant désirer: maitriser la langue japonaise. Voici quelques pistes pour apprendre le japonais « plus efficacement », cet article n’ayant pas vocation à vous donner une méthodologie clé en main mais plus quelques conseils basés sur mon expérience personnelle.

Commencer par le début, les Kana

Voila, vous voulez vous lancer dans l’apprentissage du japonais, vous êtes prêt, vous êtes motivé et il ne vous reste plus qu’à planifier un plan de bataille qui vous mènera avec succès à votre objectif final d’être apte à utiliser la langue japonaise. Avant de vous lancer la tête baissée et d’ouvrir les ouvrages que vous avez certainement acquis, je vous recommande de commencer par apprendre les Kana japonais.

Avant de vouloir apprendre la grammaire, le vocabulaire ou encore même les kanji, choisissez une méthode de qualité pour apprendre les Kana et consacrez-vous uniquement à cet apprentissage. Prenez le temps qu’il vous faudra pour les maitriser parfaitement, être capable de les reconnaitre, les écrire et les lire sans aucune hésitation. En faisant cela, vous vous donnerez une base de qualité qui vous permettra rapidement d’abandonner l’usage des Romaji (notre alphabet utilisé en français notamment).

Plus rapidement vous abandonnerez l’usage des Romaji et plus rapidement vous serez prêt à entrer pleinement dans votre apprentissage. Bien sûr, vous pouvez apprendre les Kana en parallèle aux règles de grammaire de base.

Enchaînez par la grammaire et du vocabulaire

Une fois que vous maitrisez parfaitement les Kana, vous allez pouvoir vous consacrer aux bases de la grammaire et aux mots de vocabulaire. D’ailleurs, vous en aurez déjà appris quelques uns lors du temps passé à apprendre les Kana. Pour vous aider, je vous recommande d’utiliser les ouvrages Minna No Nihongo.

Là aussi, allez-y à votre rythme, prenez le temps de maitriser les règles les unes après les autres, sans vous précipiter. A vouloir aller trop vite et assimiler trop d’informations d’un seul, vous risqueriez d’avoir de mauvaises bases et puis de vous mélanger les pinceaux par la suite. Apprendre le japonais c’est comme construire une maison. Les Kana et les basiques de la grammaire (et même des vocabulaire) sont vos fondations et vous voulez construire votre édifice sur des fondations de qualité, surtout que la suite de l’apprentissage peut vite vous dérouter, notamment avec les Kanji japonais.

Puis attaquez vous aux Kanji

Une fois que vous avez acquis les bases de la grammaire et du vocabulaire, à savoir un niveau vous permettant de vous présenter et quelques autres éléments de conversations basiques (la météo, vos goûts, vos activités, …), vous allez pouvoir commencer à entrer dans le cœur du sujet, la partie la plus « difficile » de l’apprentissage du japonais, mais aussi la plus passionnante, si elle est bien effectuée.

Pour apprendre les Kanji japonais, il n’y a pas de secret, si ce n’est de les apprendre par cœur, vous n’aurez pas de choix autre que de pratiquer, pratiquer, pratiquer et apprendre, apprendre, apprendre!!!! Il y en a environ 2000 à connaître pour être apte à effectuer toutes les tâches du quotidien et travailler au Japon, par exemple.

Ici aussi, ne vous lancez pas tête baissée. Les Kanji sont à la base issus de dessins, alors, commencez à en apprendre quelques uns au travers de leurs dessins d’origine (je vous recommande Kanji Start Vol. 1 et Kanji Starter Vol. 2). Lorsque vous arriverez à reconnaître quelques kanji de base et leurs significations, vous pourrez commencer à les écrire et à apprendre à les lire.

Pour l’écriture, faite bien attention à apprendre à les écrire dans l’ordre initial, vous verrez que sur le long terme ceci facilitera votre apprentissage. Pour la lecture, il vous faudra apprendre chaque Kanji au sein de mots de vocabulaire. Prenez donc le temps de mémoriser des mots contenants ces idéogrammes d’origine chinoise.

Cette partie va vous demander beaucoup d’efforts, ne nous voilons pas la face, mais vous pouvez prendre ceci comme un « jeu » en essayant d’imaginer une histoire pour chacun des Kanji, en vous basant sur des dessins, pour les mémoriser plus facilement.

L’apprentissage des Kanji se fait en parallèle de celui de la grammaire et du vocabulaire, ils sont liés et surtout facilitent la mémorisation contextuelle.

Fixer vous des objectifs et des étapes intermédiaires

Votre but final c’est d’apprendre le japonais, de maitriser la langue, de savoir la parler, la lire, l’écrire et la comprendre. Mais ça, c’est votre but final. Si vous n’avez que cela comme objectif, vous allez rapidement perdre votre motivation et abandonner votre apprentissage.

Et oui, l’humain a souvent des difficultés à tenir un objectif qui semble être loin, voir très loin. Et, en sachant qu’apprendre le japonais peut prendre 2 ou 3 ans, en moyenne, il est facile d’abandonner au bout de quelques semaines ou mois si on n’a pas d’objectifs intermédiaires.

Imaginez-vous que vous alliez escalader le Mont Everest. C’est haut, n’est-ce pas? Plus de 8000 mètres d’altitude c’est impressionnant et ça refroidirait (sans mauvais jeu de mots) beaucoup de personnes pourtant ultra-motivées à la base. Maintenant, imaginez ce même Everest, mais avec des étapes intermédiaires, comme par exemple tous les 500 mètres d’altitude et que celles-ci soient balisées avec des drapeaux. Lorsque vous regardez votre objectif final, loin, très loin, vous voyez des mini-objectifs plus facilement atteignables qui vous permettront d’être récompensé de vos efforts régulièrement et ainsi de rester motivé plus longtemps dans votre apprentissage.

Pour apprendre le japonais, c’est exactement ce même procédé que vous devez avoir en tête, pour ne pas perdre votre fil conducteur. Planifiez votre objectif final, et établissez des étapes intermédiaires pour ne pas perdre votre motivation en cours de route (apprendre les Hiragana, apprendre le Katakana, Apprendre 50 Kanji, 100 kanji, ….).

Agissez comme un bébé

Apprendre à écrire en japonais ainsi que la grammaire c’est bien, mais le pratiquer c’est encore mieux. Déjà, seul, vous pourrez répétez tous les termes et phrases que vous apprendrez à voix haute, mais rapidement, pour passer un nouveau palier, il va vous falloir pratiquer avec des natifs ou des personnes ayant un niveau supérieur au votre, et qui ne commettent pas d’erreurs susceptibles de vous induire en erreur.

L’une des meilleures méthodes reste celle nommée, en anglais, « Act as a baby ». Concrètement, en se basant sur la façon dont un bébé apprend sa première langue, cette méthode propose de suivre le même procédé. Il vous faudra donc écouter des contenus (films, anime, musique, …) en japonais, essayer de reconnaître des mots ou phrases et de les répéter.

C’est ainsi qu’un bébé apprend une langue: il écoute ce qui se dit dans son entourage, capte quelques phrases ou sons et les répètent, sans cesse, puis, petit-à-petit, il commence à corriger ses erreurs et à progresser vers une façon de s’exprimer de qualité. Il va vous falloir faire la même chose pour progresser plus rapidement.

Les erreurs ne sont pas vos ennemies, bien au contraire, elles sont vos alliées, encore faut-il qu’on vous les pointe du doigt et qu’on vous aide à les corriger. Pour cela, il vous faudra trouver des partenaires de conversations qui ont réellement envie de vous aider, et vous verrez que votre apprentissage ira beaucoup plus vite, car on est là dans la partie ludique de cette aventure linguistique.

Comme le disait si bien Boris Becker: « L’homme qui ne commet pas d’erreur est fort, mais celui qui en commet et en tire des leçons est encore plus fort ». En clair, allez-y, pratiquez et faite des erreurs pour pouvoir apprendre et en tirer des leçons et ainsi progresser, ne soyez pas timide, sinon vous ne pourrez pas passer ce palier qui vous permettra de bien maitriser cette langue, parce que savoir lire et écrire c’est bien, mais qu’être capable de parler c’est encore mieux.

Attention aux méthodes de japonais trop idéalistes

Le Web et les rayons de librairies pullulent de méthodologies vous jurant que vous pouvez apprendre à écrire les Kana en 3,5 ou 7 jours, les Kanji en quelques semaines, le japonais en 60 heures, …. ou je ne sais quel autres titres plus racoleurs les uns que les autres.

Ces méthodologies sont mauvaises, car elles sont basées sur des titres faux, vendant un contenu faux et un objectif souvent inatteignable pour la grande majorité. Et c’est en cela qu’elles sont dangereuses!!! Pourquoi? Parce qu’imaginons que vous achetiez une méthodologie qui vous promette de vous enseigner les Kana en 7 jours. Vous ouvrez l’ouvrage, vous commencez l’apprentissage, mais que cette méthode ne soit pas adaptée à une mémorisation en un temps aussi court (en moyenne il faut deux semaines pour apprendre le Kana correctement, en école de japonais), que va-t-il se passer? Vous allez rapidement être démotivé parce que vous n’aurez pas atteint ce premier objectif et vous risqueriez d’être déçu, voir, pour certains, d’abandonner l’apprentissage du japonais.

Ces méthodologies aux titres racoleurs à souhait sont basées sur des pratiques marketing dont le seul et unique but est de booster les ventes, sans nécessairement se préoccuper du fait que les apprenants puissent ou non tenir les objectifs.

Privilégiez donc des méthodes plus simplistes, plus « normales » et qui ne vous promettent pas monts et merveilles, car elles vous permettront d’apprendre tranquillement, à votre rythme et non pas à celui imposé par un titre d’ouvrage racoleur.

En soit, apprendre le japonais n’est pas une mission impossible, bien au contraire, preuve en est avec tous ceux qui s’y attèlent avec succès chaque année. Mais, cet apprentissage n’est pas facile et ne se fait pas en un claquement de doigt. il vous faudra vous investir à fond dedans, mais à votre rythme, ne pas trop vous pousser pour ne pas vous dégoûter. Et vous, quels sont vos coneils et vos retours d’expériences?

14 Comments »

  1. AnnaJo Janisz 1 mai 2015 at 10 h 55 min - Reply

    Merci pour tes conseils ! Je suis sûre que cela aidera beaucoup de personnes qui se sentiront forcément découragées ou désarçonnées à un moment ou à un autre de l’apprentissage.

    Ca me fait penser à quand j’apprenais la langue birmane. Pourtant, je connais plusieurs langues mais celle-là !!!!
    Avec ses caractères « plutoniens », ses 4 tons pour un seul son et ses multiples différentes significations, j’ai été vite découragée.
    Et puis j’ai pris, une fois au pays, une prof de Birman qui parlait parfaitement l’anglais et surtout, je répondais (je tentais de répondre :)) au jeune fils de ma boss (il avait 4 ans à l’époque), et on « babillait » de concert 🙂

    Pour lui, je savais parler aussi. Son cerveau apprenait forcément plus vite que mon cerveau (plus jeune, ça va plus vite évidemment); mais avec lui, je pouvais apprendre en jouant, et lui parler sans honte. Le plus marrant, c’est qu’on se comprenait ^^

    L’apprentissage d’une langue aussi difficile, que ce soit le birman, le japonais, ou encore le chinois (ne parlons pas du thaï, que j’ai « effleuré ») nécessite d’activer d’autres parties de notre raisonnement et impose, avec l’impératif d’avoir bien sûr la volonté nécessaire pour tenir sur la longueur, la notion de jeu. Lorsqu’on joue, on pense moins à la pénibilité de l’apprentissage et à l’enjeu.

    On redevient un enfant qui babille et qui est ravi de voir qu’il commence, au fur et à mesure, à se faire comprendre mieux 🙂

    • tunimaal 1 juin 2015 at 8 h 39 min - Reply

      Merci pour ton partage d’expérience sur l’apprentissage des langues étrangères ^^

  2. MAX 2 mai 2015 at 16 h 01 min - Reply

    perso, la methode que j’ai trouvé super bien pour apprendre ses kanas par coeur c’est un manga GTO en furigana, tu essayes juste de lire les kanas meme si tu comprends pas les mots, c’est plutot ludique comme methode parce que meme si on arrive pas a lire on comprend plus ou moins l’histoire et à fréquence d’une trentaine de minute tout les soirs ca devient très rapidement une habitude de lire les kanas.

    • tunimaal 1 juin 2015 at 8 h 45 min - Reply

      Oui c’est une bonne méthodologie pour prendre le rythme de lecture.

  3. Elodie 2 mai 2015 at 18 h 12 min - Reply

    Le site NHK propose depuis fin mars des cours avec des podcasts à écouter, je trouve la méthode plutôt bien faite.

    J’ai eut la chance d’avoir des cours avec une prof japonaise se basant sur la méthode minna no nihongo et j’ai vraiment trouvé que c’était le top. Je n’ai malheureusement pas pu continuer (c’est ça de fonder une famille), mais j’espère bien reprendre un jour.

    • tunimaal 1 juin 2015 at 9 h 56 min - Reply

      Oui elle est bien faite cette méthode et bien adaptée au débutants.

  4. Madame Fujoshi 3 mai 2015 at 15 h 39 min - Reply

    Merci pour ton article n_n !
    Comme tu le dis, la langue japonaise, c’est passionnant (ah, ces kanji ! Ne m’en parle pas)
    Effectivement, mieux vaut prendre son temps et se fixer des mini objectifs, des petits défis… surtout quand on apprend seul(e) (ce qui est mon cas u_u)
    Pour les kana, j’ai opté pour la méthode « inside ze pocket » (copyright fujoshi u_u). J’avais toujours 4 ou 5 kana avec moi : d’un côté, le kana, de l’autre, sa prononciation. Je me faisais des interro’ dès que je le pouvais, les récitais à voix haute… succès garanti !
    Pour les kanji… j’ai acheté le Kanji to kana (à la dure, allez hop >_<)…
    Comme tu le dis, il ne faut pas se décourager, au contraire n_n. C'est gratifiant de constater que, petit à petit, on arrive à comprendre des paroles de chansons, à saisir le thème d'un texte, d'une conversation…

    • tunimaal 1 juin 2015 at 9 h 58 min - Reply

      Merci beaucoup pour ton retour d’expérience et ces méthodes que tu présentes.

  5. Francisandlili 7 mai 2015 at 7 h 42 min - Reply

    Je me permet d’ajouter un livre qui est reconnu pour l’apprentissage des Kanjis (et qui est en français): Les Kanjis dans la tête.

    Il permet d’apprendre les kanjis de manière mémo technique. Beaucoup de personnes ont pu apprendre les kanjis de cette manière.

    Perso j’ai acheté le livre mais je ne m’y suis pas encore mis… Mais je peux déjà vous dire qu’il est très beau ^^

    • tunimaal 1 juin 2015 at 10 h 46 min - Reply

      Merci pour cette recommandation. ^^

  6. Yuna 7 mai 2015 at 18 h 59 min - Reply

    Merci pour ces infos ! Petite question, en combien de temps tu as appris les kanjis, je voudrais avoir une estimation de temps ^^

    • tunimaal 1 juin 2015 at 10 h 52 min - Reply

      Il n’y a pas de temps type puisqu’il faut en maitriser 1946 pour vivre dans la vie de tous les jours et que ça demande énormément de temps, et que ça va varier selon les individus. En cours, on nous disait que pour un non chinois il faut compter au minimum 3 ans en intensif pour bien les maitriser. Les japonais mettent aussi beaucoup de temps pour les apprendre.

  7. florian 13 mai 2015 at 10 h 17 min - Reply

    Salut Aala, j’apprends le japonais depuis un an déjà et je connais tout mes kana. J’ai pour projet de partir vivre au japon (et donc y travailler). Je me suis fixé des objectifs par exemple pourquoi pas le jlpt5 en fin d’année et le jlpt4 voir le jlpt3 en fin d’année prochaine (ça me fera 2 ans et demi d’apprentissage déjà). Avec mon professeur qui a étudié à bordeaux 3 je pense que ça devrait être réalisable d’avoir le niveau entre jlpt3 et jlpt4 d’ici un an et demi. Pour terminer mon projet je pensais partir dans une école de langue à tokyo ou kyoto. (tokyo ça à l’air mieux pour la nightlife et l’animation en général, par contre pour le japonais je sais pas ce qui est mieux). Je pensais passer un an à étudier le japonais au japon et travailler à mi temps.

    Alors j’ai trois questions:
    1) Penses tu que c’est faisable de trouver un job à mi temps d’ingénieur le temps de mes études (ingénieur informatique web)
    2) Est ce que c’est faisable d’avoir le jlpt2 en un an voir de tâter le 1 à partir de mon niveau français au bout de mes études japonaises? Si oui combien de temps d’étude pour le 2 et combien d’études pour le 1.
    3) Sachant que je partirais avec un capital d’environ 20 000 euros + 1300 euros par mois d’aide + job mi temps si ça marche j’ai calculé en euros qu’une année coutait environ 6500€, tu me conseillerais quoi en durée d’étude?
    4) pour la ville j’adore les deux villes tokyo et kyoto par contre c’est vrai que j’aime bien sortir le soir bar/boite, du coup je devrais choisir tokyo ou kyoto?

    Merci merci pour ton temps ça fait déjà un an que je te lis, je suis passionné du japon et je trouve ça dur d’émigrer, mais j’y arriverais, Flo

    • tunimaal 1 juin 2015 at 11 h 49 min - Reply

      Salut Florian, je vais essayer de répondre au mieux à tes questions:

      1) Ingénieur à mi-temps j’ai envie de dire « chaud », mais on ne sait jamais. Sache que le mi-temps au Japon ce n’est pas comme en France. Je vois souvent des étudiants japonais avoir un mi-temps de 35/40 heures semaine 😉

      2)En général, il faut 2/3 ans d’études pour le JLPT 2/1 selon les étudiants et leur vitesse d’apprentissage, le plus dur étant les Kanji.

      3) Je te recommande de faire deux années d’études qui te mèneront au niveau JLPT 2 ou 1 selon ta rapidité d’aprentissage.

      4) Si tu aimes sortir le soir Tokyo sera plus adaptée pour toi 😉

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